au seuil de soi
Certaines rencontre avec soi ne peuvent avoir lieu dans le rythme habituel de la vie.
Elles demandent un espace neutre, un temps suspendu, un cadre où l’on peut se déposer et aborder ce qui pèse ou écouter ce qui appelle.
Au seuil de soi est une fin de semaine dédiée à cette rencontre. Un moment pour ralentir, respirer, explorer et se ressentir.
Corps - Souffle - Présence
Ce n’est ni une retraite spirituelle, ni un atelier de performance personnelle.
Au seuil de soi est un espace où l’on apprend simplement à cesser de fuir qui l’on est.
Pour Qui ?
Ces fins de semaine s’adressent à vous si vous traversez :
un épuisement émotionnel ou professionnel,
une perte de sens, un questionnement profond,
un sentiment de pilote automatique,
des émotions difficiles à comprendre ou à apaiser,
des schémas relationnels répétitifs,
une transition de vie (rupture, deuil, changement important),
ou simplement l’appel intérieur à vous retrouver.
Ce que vous allez vivre
Chaque fin de semaine « Au seuil de soi » offre :
Un espace de parole, sans jugement ni performance
Des explorations guidées
Des moments de silence, d’intégration et d’écoute
Des échanges en groupe
Une discussion sur un concept psychologique
Un instant méditatif sur un koan (question existentielle)
Des temps pour se déposer, respirer, comprendre…
Un cadre thérapeutique sécurisant
Confidentialité totale
Bienveillance active
Respect du rythme de chacun
Aucun dogme, aucune performance
Inclusion pleine et entière
Zéro pression à “réussir”
Accompagnement professionnel par un psychologue (OPQ)
Déroulement d’une fin de semaine
-
Vendredi
Accueil du groupe
Mise en sécurité et cadre thérapeutique
Partage des intentions
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Samedi
Développement d’une problématique
Education psychologique
Méditation guidée ou hypnose douce
Espace d’intégration silencieuse
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Dimanche
Ouverture en douceur
Travail autour d’un koan (question profonde)
Partage en petit groupe
Fermeture du week-end et ancrage
Une invitation
« Au seuil de soi » n’est pas une destination.
C’est un passage.
Un moment où l’on s’arrête, où l’on respire,
et où l’on se rencontre enfin.
L’intention n’est pas de “faire”, mais de se laisser être.
Science, silence, présence.